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De tous temps, et quelle que soit la civilisation, l'Homme a eu besoin de
s'identifier. Cette identification personnelle ou de clan s'effectue à
l'aide d'un système emblématique utilisant de nombreuses figures
symboliques. Plus simplement, laisser une trace et apposer sa marque !
;-)
Une des premières traces écrites correspondant à
l'héraldique définie comme telle, remonterait au
XI ème siècle, suite à
l'énumération des éléments composant les
couleurs et détails vestimentaires de chacun des deux combattants
qui allaient s'affronter. La personne qui fît cette
énumération est par conséquent le premier
héraut (hérault en vieux françois) connu de l'Histoire.
Les représentations sont
relatives à une symbolique spirituelle, à un fait d'armes, à une situation
artisanale, à un métier, à une corporation ; à l'association du nom
avec sa représentation phonétique ou symbolique (quolibet),
géographique, ou encore à un ensemble composé de ces éléments.
L'héraldique est plus précisément un Art (ou une spécialité) qui se
consacre à l'étude du blason et
des armoiries.
Toutefois, l'étude de l'Héraldique ne s'arrête pas à la représentation
graphique ; le héraut doit mémoriser les faits
d'armes associés à la personne et être capable de les citer en toutes
occasions en fonction des armoiries portées par le chevalier.
Cet art suppose sur le plan graphique, autant une esthétique qu'un
descriptif. Les explications que vous trouverez en parcourant ce site seront
tantôt plus spécifiques à « l'Art du Blason
» que de la « science de l'Héraldique » dans son
ensemble ; (une différenciation pouvant être faite entre
les deux).
A chaque fois nous essaierons de voir les éléments de base
immuables et ceux, plus représentatifs du blason
ancien ou moderne.
Le blason dans sa représentation initiale fait appel à l'écu.
C'est à partir de ce support « de base » que le blason
prend réellement sa valeur.
Avant d'aller plus avant, [ ;-) ] voici quelques remarques sur l'écu en
lui-même :
- l'écu est défini en trois éléments qui sont : le chef, la pointe et les flancs,
- il peut être composé de trois types d'émaux : couleurs, métaux et fourrures,
- on distingue trois classes de figures : naturelles, artificielles et chimériques.
Avec ceci, on verra qu'il y a (entre autres), neuf partitions et neuf
points ! Sans compter les trois « couleurs » de l'origine
« pré-héraldique »qui sont : l'aigle pour l'Empire,
la croix et le lion pour la Religion et la fleur de lys pour le Royaume.
N'est-ce pas intéressant, voir troublant ?
Présentation
Les formes
La forme la plus « simple » sur laquelle fûrent apposés les symboles, est
l'écu. L'écu à l'origine, n'était autre qu'un bouclier de bois ou de fer,
tantôt recouvert de fourrures, tantôt peint ou dessiné. Il a servi aux
guerriers, aux clans, puis aux familles pour permettre de s'identifier.
Selon les pays et les âges, les formes des écus diffèrent sensiblement, mais
ils représentent toujours, dans une symbolique de forme, le Coeur. De celui-ci,
trois grands contours d'écu se sont révélés. Il s'agit de l'écu en amande,
triangulaire ou encore dit traditionnel.
Voici quelques-unes des principales formes rencontrées :
N'oublions pas le traditionnel « scrutum rectangulaire Romain » ni
le bouclier rond...
Bien-sûr, ce n'est ici, que l'élément de base (le bouclier) qui est déformé.
Les formes ont varié au cours des siècles et en fonction des pays. Un
échantillon de ces autres formes principales apparaît dans le tableau
suivant :
Quelques formes d'écus
écu des dames
écu des demoiselles
écu Français ancien
écu Français du XIII ème
écu classique
écu de tournois
écu Suisse
écu Ibérique
écu Polonais
écu Anglais
écu Allemand
écu Italien
L'évolution des moeurs, la manière de combattre, l'apparition des « jeux »
(tournois et joutes) ont été autant de facteurs de transformation des
écus ; ceux-ci deviennent plus petits, on en trouve des découpés pour
laisser passer la lance de tournois...
Ne vous étonnez donc pas de rencontrer quelques variantes à ces formes
typiques.
Le descriptif de ces blasons se lit (s'énumère) de la manière
suivante :
« De gueules à trois besants d'or en bande ». Toutefois, l'un de
ces blasons a pour descriptif « De gueules à trois besants deux et un »
(trouvez-le). ;-)
La lecture des blasons est expliquée dans le chapitre :
lecture des blasons.
Les couleurs utilisées en héraldique portent le nom d'émaux
et elles sont partagées en trois groupes qui sont respectivement :
les métaux, les fourrures et les couleurs.
Ceci vient certainement de la matière et de la manière de recouvrement des
premiers boucliers ; et on en a conservé le nom. Voir le tableau ci-dessous.
Les fourrures peuvent se rencontrer sous le nom de « pannes ».
Il existe respectivement deux métaux, deux fourrures proprement dites et
leur contre, ainsi que cinq couleurs de base, plus une couleur composée qui
se situe entre l'or et le rouge. Cette sixième couleur que l'on peut trouver
sous le nom de « transmutation », peut varier dans sa teinte de
l'orangé au tanné. Une autre couleur destinée à représenter la
couleur chair fît son apparition et porte le nom de carné.
Le noir est considéré comme une couleur, mais il est également
considéré comme une fourrure, la Zibeline, dans sa nature première.
Les métaux
Argent
Or
Les fourrures
Hermine
Vair
Contre-hermine
Contre-vair
Les couleurs
Gueules rouge
Azur bleu
Sable noir
Sinople vert
Pourpre violet
Orangé orange
Transmutation
orangé orangé
Tanné marron
Ces dix émaux fondamentaux de l'héraldique peuvent subir quelques variations
de teintes suivant les régions ou pays. Mais la superposition de certains
d'entre eux reste cependant interdit, tout comme la surcharge de couleurs ou
de symboles.
Pour plus d'information consultez les règles de
l'héraldique Par exemple : les deux métaux ne doivent pas être mis l'un sur
l'autre ! (Quoi que ! ;-)) Cf. les règles...
Des combinaisons d'émaux sont également possibles tant qu'elles
respectent les règles de l'héraldique, comme
par exemple, de gueules herminé d'or ou bien d'or vairé de gueules...
Dans l'histoire de l'héraldique, le sinople (du moins dans le nom, sinon
dans la couleur elle-même) est apparût bien après le gueules, l'azur et le
sable. Ensuite le pourpre et les transmutations y compris le carné.
Info : Dans l'héraldique Germanique on peut rencontrer le fer (gris
foncé), mais cela est très rare... Le rouge vif, couleur sanguine
fait plutôt partie de l'héraldique Anglaise.
Enfin une toute dernière « couleur » existe et se nomme « au naturel ».
Elle est relativement récente et elle est parfois utilisée pour représenter
les animaux, les fruits ou encore certains objets dans leur couleur
naturelle.
À noter que dans les représentations peintes, l'or est représenté par le
jaune et l'argent par le blanc.
Il existe également un code couleur schématique utilisé en héraldique lors
de représentations en bichromies ou d'esquisses de blasons.
C'est un ensemble de points ou de traits orientés qui forme un motif et
auquel une couleur est associée. L'absence de motifs représente la
couleur « argent ».
Pour la petite histoire, (comme on dit ;-)), cette
« table d'encodage » aurait été créée au XIV ème
puis utilisée plus systématiquement au XVI ème siècle.
Avant cette date, il est possible de rencontrer un encodage par lettre,
Spour sable, O pour or, ....
À chacune de ces couleurs est associé un sens pratique, un trait de
caractère ou un symbole. Plus communément, on trouvera les significations
suivantes :
L'Or : Le Soleil et la Topaze.
Intelligence, grandeur, vertu, prestige.
L'Argent : La Lune et la Perle.
Netteté, pureté, sagesse.
Le Rouge : Mars et le Rubis.
Amour, désir de servir sa patrie.
Le Bleu : Jupiter et le Saphir.
Symbole de la beauté, fidélité, persévérance.
Le Noir : Saturne et le Diamant.
Tristesse.
Le Vert : Vénus et l'Émeraude.
Santé, joie, espérance, liberté.
Le découpage de l'écu est à la fois simple et complexe ; simple car les
lignes de séparation sont des segments de droites, courbes ou rectilignes
qui suivent une symétrie simple. Complexe car il y a plusieurs types de
découpages, dont certains se superposent, s'emboitent et d'autres sont
invisibles car symboliques ou spirituels.
Globalement, parmi les divisions de l'écu on peut trouver les types de
découpages suivants :
Symboliques (9).
Correspondant aux neuf points...
Spirituels.
De très nombreuses variantes, allant du pentagramme à la
spirale.
Les partitions principales (9).
Les plus classiques de l'héraldique.
Les partitions ternaires (9).
Moins courantes...
Les répartitions (9).
Une combinaison des partitions et répartitions.
Peu usité en héraldique ancien.
Les partitions seyantes (9).
Les noms sont empreintés aux vêtements de l'homme.
Les états des partitions seyantes (14).
Il s'agit des partitions seyantes ou sécantes, mais avec
des séparations curvilignes.
Les pièces.
Attention, celles-ci peuvent se confondre avec certaines
partitions, mais il s'agit bien là d'une superposition de matière.
Le découpage de l'écu
Fondamentalement, un écu est formé de neuf parties distinctes, encore
appelées points. Attention, ces points ne sont pas représentés physiquement
sur l'écu, ce n'est qu'un positionnement symbolique.
Par contre, les meubles seront placés en ces
points ou à leur croisés.
L'écu, quelque soit sa forme, est découpé en neuf parties distinctes
(trois lignes de trois colonnes). De gauche à droite et de haut en bas, on
obtient respectivement :
le canton du chef dextre, le chef, le canton du chef senestre,
le flanc dextre, le coeur (le centre ou l'abîme), le flanc senestre,
le canton de la pointe dextre, la pointe,
le canton de la pointe senestre.
Vous aurez peut-être remarqué que les parties dextres (se qui signifie
droite), désignent les parties qui se trouvent à votre gauche sur l'écu
dessiné ! Ce n'est pas une erreur ; cela provient du fait que
l'écu était porté par un chevalier, et par conséquent, celui-ci le tenant à
son bras, le côté que l'on voit à notre gauche correspond bien à la droite
du chevalier. Or l'écu, (le blason), est représentatif de son porteur...
Dans certains cas, c'est le corps humain qui y sera symbolisé.
Le vocabulaire employé sera représentatif (chaussé, chapé, ...).
D'une symbolique encore plus complexe, on peut trouver un ensemble
d'éléments imbriqués tels un triangle à cinq branches, plus un triangle à
six branches, plus un cercle. Chacune des intersections et/ou surfaces peut
avoir un caractère symbolique ou spirituel...
Les partitions de l'écu
Le partitionnement est le premier découpage physique de base d'un écu. C'est
par dessus celui-ci que d'autres types de découpages seront inscrits ou
superposés ainsi que les dessins.
Le système de partitions de l'écu s'appuie sur les neuf points définis
dans l'écu. Ainsi, l'écu de base, de couleur unie, sans ligne de partage est
une partition unique parce que non découpée et porte le nom de Plain.
On parlera aussi de « champ ». Lorsqu'il est plain, le champ est
composé d'un seul émail. ce qui est relativement rare !
Voici maintenant les neuf partitions principales. On peut retrouver
certaines appellations sous des termes différents, comme Giron à la
place de « parti, coupé, taillé, tranché » en référence à un motif de l'écu
(gironné). Les parties ainsi formées sont nommées quartiers et
respectent la parité de celles-ci.
Viennent ensuite les neuf partitions ternaires. Il s'agit de partitions
composées de trois « quartiers ». Ce partage en trois parties
s'effectue selon des normes bien précises. Ce type de partitionnement se
nomme des « tiercés ».
Bien que plus rares, on les rencontre toutefois.
Elles sont respectivement :
tiercé en fasce, tiercé en pal, tiercé en bande,
tiercé en barre, tiercé en pairle, coupé mi-parti en pointe, coupé
mi-parti en chef, parti mi-coupé à dextre, parti mi-coupé à senestre.
Les répartitions et les rebattements de l'écu
La combinaison des partitions entre elles, forme ce qu'on appel des
répartitions ; même si le sens originel est « parti à
nouveau ». Les répartitions apparaissent lorsqu'on découpe les
quartiers d'une partition principale ou ternaire.
Chaque quartier ou partie sera donc : réparti,recoupé,retaillé, ou retranché, suivant si il est
parti, coupé, taillé ou tranché.
Normalement, il s'agit de redécouper le blason en parcelles
rectangulaires de 6, 8, 10, 12, 16, 20, 24, 28, ou 32 parcelles. Les
exceptions telles le gironné ou l'écartelé en sautoire peuvent être
considérées comme appartenant à la même famille.
Le meilleur moyen de ce faire une idée, est de regarder des
exemples ! :-)) Encore un petit détail, quelque soit le type
de découpage, lorsqu'il s'effectue dans un quartier, il se nomme
contre. Les plus usités sont, le contre-écartelé, le contre-écartelé
en sautoire et le contre-gironné. On ne précise pas la position du contre
lorsqu'il est situé dans le premier quartier.
Donc voici, de gauche à droite, « un écu parti de trois et coupé
d'un ; un écu parti, coupé de deux ; un écu écartelé et parti le
second, (ce qui donne un découpage dissymétrique) ; un écu écartelé et
parti en 2 et en 3 ; un écu écartelé et
contre-écartelé ».
Ici on obtient :
« gironné d'argent, de pourpre, d'argent et d'azur, un écu gironné
d'azur et d'or ». Le gironné est la combinaison de l'écartelé et
de l'écartelé en sautoir.
Plus simplement, les rebattements ne sont ni plus ni moins qu'une
multiplication successive d'une même partition, ou d'une
pièce honorable.
Le palé est le rebattement du parti, alternant ainsi les émaux des
pièces verticales. Le fascé est le rebattement du coupé, le barré, celui
du taillé et le bandé, celui du tranché.
Le rebattement oblige parfois à la réduction de la taille des pièces,
cependant, lorsque les pièces perdent trop de leur proportion vis à vis
de l'écu, le nom associé au rebattement est modifié. Par exemple pour le
parti, on obtient le pal, ou plus précisément, le tiercé en pal, puis palé
de x pièces.
Dans l'ordre, nous avons « fascé d'argent et d'azur », puis
« fascé d'azur et d'argent de 3 pièces ».
Si le nombre de pièces augmentent encore, alors le fascé deviendra
un burelé (à partir de 9 pièces). La burèle (ou burelle) est le
nom donné à cette pièce de faible largeur.
Attention de ne pas confondre avec les figures ci-dessus !
D'argent à deux fasces d'azur.
Voici un exemple de « contre » associé
à un rebattement du bandé.
Celui-ci aura pour lecture : « Partie
et contre bandé de 3 pièces, d'or et de gueules de l'un à
l'autre ».
Voici maintenant un exemple utilisant une combinaison du fascé et du
palé...
« D'azur équipolé d'argent ».
Les traits de séparation
Chaque ligne de découpe ; qu'il s'agisse d'une couture, d'une superposition
(charge), d'un bourrelet, d'un champlevé ou d'une peinture, se nomme un
trait.
Ceux-ci sont parfois utilisés pour créer les lignes de séparation des
partitions ou bien celles formant certaines figures.
Voici ici, quelques-uns des traits, les plus rencontrés :
L'héraldique a ses règles, et celles-ci sont strictes. Cependant comme
toutes règles, elles ont quelques exceptions, mais relativement rares.
Comme interdictions, on va trouver :
Interdiction de positionner un métal sur un métal.
Interdiction de positionner une couleur sur une couleur.
Interdiction de positionner une fourrure sur une fourrure.
Comme le blanc représente l'argent et le jaune représente l'or, il est
interdit d'utiliser les deux représentants du même émail dans un même blason.
Il est effectivement interdit de superposer deux métaux, MAIS, lors de
certains événements majeurs, il est arrivé que, pour marquer ce fait on ait
sciemment fait un écart à cette règle.
Il peut en être de même pour l'inversion de certaines couleurs, du
renversement haut, bas, d'un écu...
Lorsqu'on rencontraît de telles erreurs, il fallait s'enquérir du
problème car il s'agissait soit d'une véritable erreur à corriger, soit
d'une raison très importante pour les avoir créées. Le plus souvent, un fait
d'armes notable. De ce fait, de telles armes sont dites à l'enquerre.
Les armes à l'enquerre les plus réputées sont celles du roi de Jérusalem
(en fait « Avoué du Saint-Sépulcre »), Godefroi de Bouillon dont les armes
étaient : une croix d'or sur fond d'argent. (le blason est visible
dans la partie « Exemples de blasons »).
L'une des règles principales de l'héraldique reste l'esthétique !
Les effets de lumière (ombres) et l'utilisation de la surface proposée.
Le principe de juxtaposer deux émaux de même catégorie (métal, couleur ou
fourrures) est déconseillé. Certains puristes en font même une
interdiction !
Il ne s'agit ici, que des mots utilisés dans le texte de cette page. Les
définitions sont simplifiés au plus court. Un véritable lexique est en
préparation et devrait être fonctionnel pour octobre-novembre 2001.
ARMOIRIES
Armoiries ou armes. C'est l'ensemble des signes, devises et ornements dont
l'écu est constitué.
exemple : Les armoiries d'une famille, d'une ville, d'un État...
BLASON
Le blason est un ensemble de couleurs et/ou de dessins apposés sur un
écu. Cet emblème ainsi formé représente les armes d'une famille. Le blason
est également l'ensemble des armoiries qui composent un écu.
BLASONNER
1. C'est donner un descriptif clair et précis d'un blason, d'une
armoirie... Il s'agit de donner une « lecture ».
2. Peut aussi être employé pour signifier la création d'un
blason.
CIMIER
C'est la figure qui surmonte l'écu. Il peut s'agir d'un heaume ou
d'une couronne orné de décorations diverses et dont le sommet peut-être
blasonné du même.
ÉMAUX
En héraldique, les émaux correspondent aux différentes couleurs que
l'on peut rencontrer. Ceux-ci sont de trois types, et ils portent les noms
suivants : METAUX, FOURRURES et COULEURS.
Ils sont associés respectivement aux boucliers de bois peint,
de métal et recouverts de fourrures, ou bien de mélange.
ÉCUSSON
L'écusson est un petit écu employé en tant que meuble dans un écu
d'armoiries.
HEAUME
Le heaume est un casque intégral destiné aux combats et aux joutes.
Il en existe de très nombreuses variétés. Bientôt des images sur la page
médiévale...
HÉRAUT
Héraut ou Hérault en vieux François ;-) est un personnage officiel
chargé de porter les déclarations de guerre, de régler les cérémonies et
les jeux (joutes), ainsi que de surveiller les blasons dans leur
authenticité et leur unicité.
MEUBLES
Les meubles représentent l'ensemble des figures du blason.
Figures ou pièces mobiles de l'héraldique.
Par exemple : un lion, une fleur de lys, ...
PIÈCES
Les pièces représentent l'ensemble des figures
héraldiques dites immuables. Cela concerne des figures types
qui peuvent se superposer aux partitions.
TABARD
La tabard est la tunique armoriée que portaient certains personnages.