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Blason  Héraldique « L'héraldique et l'art des blasons », c'est ce que je vous propose de découvrir, le plus simplement possible. Petit à petit, nous apprendrons à blasonner (décrire (lire) un blason). Les partitions, les « couleurs », les figures, etc. n'auront plus de secret pour vous...
Ce site et les dessins sont ©1998-2001 moi-même. ;-) (exepté la base de l'écu utilisée pour les écus ci-dessus.)
Les armoiries ou blasons présentés avec l'accord de leur propriétaire respectif sont sous leur propre copyright. :)


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Heraldique

L'Héraldique et l'Art des Blasons.

Si vous avez des idées, contactez-moi.

Mis à jour, le 07 septembre 2001


Sommaire de la page « Héraldique ».
  1. Définition de l'Héraldique.
  2. Présentation.
  3. Les meubles (figures).
  4. Les pièces.
  5. Les règles de l'héraldique.
  6. La lecture des blasons.
  7. Des exemples de Blasons. [ Bientôt ]
  8. Un exemple de Blason moderne ! [ En cours... ]
  9. Créer son propre blason. [ Prévu ]
  10. Un peu d'historique, en vrac ... ;-)).
  11. Le vocabulaire héraldique.
  12. L'anneau Héraldique (WebRing) des sites sur l'héraldique.
  13. D'autres liens relatifs à l'art des blasons.
Haut de la page.   

Définition de l'héraldique


Le besoin de laisser une trace

De tous temps, et quelle que soit la civilisation, l'Homme a eu besoin de s'identifier. Cette identification personnelle ou de clan s'effectue à l'aide d'un système emblématique utilisant de nombreuses figures symboliques. Plus simplement, laisser une trace et apposer sa marque !   ;-)

Une des premières traces écrites correspondant à l'héraldique définie comme telle, remonterait au XI ème siècle, suite à l'énumération des éléments composant les couleurs et détails vestimentaires de chacun des deux combattants qui allaient s'affronter. La personne qui fît cette énumération est par conséquent le premier héraut (hérault en vieux françois) connu de l'Histoire.

Les représentations sont relatives à une symbolique spirituelle, à un fait d'armes, à une situation artisanale, à un métier, à une corporation ; à l'association du nom avec sa représentation phonétique ou symbolique (quolibet), géographique, ou encore à un ensemble composé de ces éléments.

L'héraldique est plus précisément un Art (ou une spécialité) qui se consacre à l'étude du blason et des armoiries. Toutefois, l'étude de l'Héraldique ne s'arrête pas à la représentation graphique ; le héraut doit mémoriser les faits d'armes associés à la personne et être capable de les citer en toutes occasions en fonction des armoiries portées par le chevalier.

Cet art suppose sur le plan graphique, autant une esthétique qu'un descriptif. Les explications que vous trouverez en parcourant ce site seront tantôt plus spécifiques à « l'Art du Blason  » que de la « science de l'Héraldique » dans son ensemble ; (une différenciation pouvant être faite entre les deux).
A chaque fois nous essaierons de voir les éléments de base immuables et ceux, plus représentatifs du blason ancien ou moderne.

Le blason dans sa représentation initiale fait appel à l'écu. C'est à partir de ce support « de base » que le blason prend réellement sa valeur.
Avant d'aller plus avant, [ ;-) ] voici quelques remarques sur l'écu en lui-même :

- l'écu est défini en trois éléments qui sont : le chef, la pointe et les flancs,
- il peut être composé de trois types d'émaux : couleurs, métaux et fourrures,
- on distingue trois classes de figures : naturelles, artificielles et chimériques.
Avec ceci, on verra qu'il y a (entre autres), neuf partitions et neuf points ! Sans compter les trois « couleurs » de l'origine « pré-héraldique  »qui sont : l'aigle pour l'Empire, la croix et le lion pour la Religion et la fleur de lys pour le Royaume.
N'est-ce pas intéressant, voir troublant ?

Présentation


Les formes

La forme la plus « simple » sur laquelle fûrent apposés les symboles, est l'écu. L'écu à l'origine, n'était autre qu'un bouclier de bois ou de fer, tantôt recouvert de fourrures, tantôt peint ou dessiné. Il a servi aux guerriers, aux clans, puis aux familles pour permettre de s'identifier.
Selon les pays et les âges, les formes des écus diffèrent sensiblement, mais ils représentent toujours, dans une symbolique de forme, le Coeur. De celui-ci, trois grands contours d'écu se sont révélés. Il s'agit de l'écu en amande, triangulaire ou encore dit traditionnel.
Voici quelques-unes des principales formes rencontrées :
 
Origine : 3 formes d'écus

N'oublions pas le traditionnel « scrutum rectangulaire Romain » ni le bouclier rond...
Bien-sûr, ce n'est ici, que l'élément de base (le bouclier) qui est déformé. Les formes ont varié au cours des siècles et en fonction des pays. Un échantillon de ces autres formes principales apparaît dans le tableau suivant :
 
Quelques formes d'écus
ecu
écu des
dames
ecu
écu des
demoiselles
ecu
écu Français
ancien
ecu
écu Français
du XIII ème
ecu
écu classique
ecu
écu de tournois
ecu
écu Suisse
ecu
écu Ibérique
écu
écu Polonais
écu
écu Anglais
écu
écu Allemand
écu
écu Italien

 
L'évolution des moeurs, la manière de combattre, l'apparition des « jeux » (tournois et joutes) ont été autant de facteurs de transformation des écus ; ceux-ci deviennent plus petits, on en trouve des découpés pour laisser passer la lance de tournois...
Ne vous étonnez donc pas de rencontrer quelques variantes à ces formes typiques.
Le descriptif de ces blasons se lit (s'énumère) de la manière suivante :
« De gueules à trois besants d'or en bande ». Toutefois, l'un de ces blasons a pour descriptif « De gueules à trois besants deux et un » (trouvez-le).  ;-) La lecture des blasons est expliquée dans le chapitre : lecture des blasons.
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Les couleurs

Les couleurs utilisées en héraldique portent le nom d'émaux et elles sont partagées en trois groupes qui sont respectivement : les métaux, les fourrures et les couleurs. Ceci vient certainement de la matière et de la manière de recouvrement des premiers boucliers ; et on en a conservé le nom. Voir le tableau ci-dessous.
Les fourrures peuvent se rencontrer sous le nom de « pannes ».

Il existe respectivement deux métaux, deux fourrures proprement dites et leur contre, ainsi que cinq couleurs de base, plus une couleur composée qui se situe entre l'or et le rouge. Cette sixième couleur que l'on peut trouver sous le nom de « transmutation », peut varier dans sa teinte de l'orangé au tanné. Une autre couleur destinée à représenter la couleur chair fît son apparition et porte le nom de carné.
Le noir est considéré comme une couleur, mais il est également considéré comme une fourrure, la Zibeline, dans sa nature première.

Les métaux
Argent
Or
Les fourrures
Hermine Vair
Contre-hermine Contre-vair
Les couleurs
Gueules
rouge
Azur
bleu
Sable
noir
Sinople
vert
Pourpre
violet
Orangé
orange
Transmutation
orangé
orangé
Tanné
marron


Ces dix émaux fondamentaux de l'héraldique peuvent subir quelques variations de teintes suivant les régions ou pays. Mais la superposition de certains d'entre eux reste cependant interdit, tout comme la surcharge de couleurs ou de symboles.
Pour plus d'information consultez les règles de l'héraldique
Par exemple : les deux métaux ne doivent pas être mis l'un sur l'autre ! (Quoi que ! ;-)) Cf. les règles...

Herminé Des combinaisons d'émaux sont également possibles tant qu'elles respectent les règles de l'héraldique, comme par exemple, de gueules herminé d'or ou bien d'or vairé de gueules... Vairé

Dans l'histoire de l'héraldique, le sinople (du moins dans le nom, sinon dans la couleur elle-même) est apparût bien après le gueules, l'azur et le sable. Ensuite le pourpre et les transmutations y compris le carné.
Info : Dans l'héraldique Germanique on peut rencontrer le fer (gris foncé), mais cela est très rare... Le rouge vif, couleur sanguine fait plutôt partie de l'héraldique Anglaise.
Enfin une toute dernière « couleur » existe et se nomme « au naturel ». Elle est relativement récente et elle est parfois utilisée pour représenter les animaux, les fruits ou encore certains objets dans leur couleur naturelle.

À noter que dans les représentations peintes, l'or est représenté par le jaune et l'argent par le blanc.
Il existe également un code couleur schématique utilisé en héraldique lors de représentations en bichromies ou d'esquisses de blasons. C'est un ensemble de points ou de traits orientés qui forme un motif et auquel une couleur est associée. L'absence de motifs représente la couleur « argent ».
Pour la petite histoire, (comme on dit ;-)), cette « table d'encodage » aurait été créée au XIV ème puis utilisée plus systématiquement au XVI ème siècle. Avant cette date, il est possible de rencontrer un encodage par lettre, Spour sable, O pour or, ....
 








À chacune de ces couleurs est associé un sens pratique, un trait de caractère ou un symbole. Plus communément, on trouvera les significations suivantes :

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Les divisions de l'écu

Le découpage de l'écu est à la fois simple et complexe ; simple car les lignes de séparation sont des segments de droites, courbes ou rectilignes qui suivent une symétrie simple. Complexe car il y a plusieurs types de découpages, dont certains se superposent, s'emboitent et d'autres sont invisibles car symboliques ou spirituels.
 
Globalement, parmi les divisions de l'écu on peut trouver les types de découpages suivants :

   Le découpage de l'écu

Fondamentalement, un écu est formé de neuf parties distinctes, encore appelées points. Attention, ces points ne sont pas représentés physiquement sur l'écu, ce n'est qu'un positionnement symbolique.
Par contre, les meubles seront placés en ces points ou à leur croisés.
 
Cantons L'écu, quelque soit sa forme, est découpé en neuf parties distinctes (trois lignes de trois colonnes). De gauche à droite et de haut en bas, on obtient respectivement :

le canton du chef dextre, le chef, le canton du chef senestre,
le flanc dextre, le coeur (le centre ou l'abîme), le flanc senestre,
le canton de la pointe dextre, la pointe, le canton de la pointe senestre.

Vous aurez peut-être remarqué que les parties dextres (se qui signifie droite), désignent les parties qui se trouvent à votre gauche sur l'écu dessiné ! Ce n'est pas une erreur ; cela provient du fait que l'écu était porté par un chevalier, et par conséquent, celui-ci le tenant à son bras, le côté que l'on voit à notre gauche correspond bien à la droite du chevalier. Or l'écu, (le blason), est représentatif de son porteur...
Dans certains cas, c'est le corps humain qui y sera symbolisé. Le vocabulaire employé sera représentatif (chaussé, chapé, ...).
D'une symbolique encore plus complexe, on peut trouver un ensemble d'éléments imbriqués tels un triangle à cinq branches, plus un triangle à six branches, plus un cercle. Chacune des intersections et/ou surfaces peut avoir un caractère symbolique ou spirituel...

 

    Les partitions de l'écu

Le partitionnement est le premier découpage physique de base d'un écu. C'est par dessus celui-ci que d'autres types de découpages seront inscrits ou superposés ainsi que les dessins.
Le système de partitions de l'écu s'appuie sur les neuf points définis dans l'écu. Ainsi, l'écu de base, de couleur unie, sans ligne de partage est une partition unique parce que non découpée et porte le nom de Plain.
On parlera aussi de « champ ». Lorsqu'il est plain, le champ est composé d'un seul émail. ce qui est relativement rare !
 
Plain

 
Voici maintenant les neuf partitions principales. On peut retrouver certaines appellations sous des termes différents, comme Giron à la place de « parti, coupé, taillé, tranché » en référence à un motif de l'écu (gironné). Les parties ainsi formées sont nommées quartiers et respectent la parité de celles-ci.
 
écu parti

 
Viennent ensuite les neuf partitions ternaires. Il s'agit de partitions composées de trois « quartiers ». Ce partage en trois parties s'effectue selon des normes bien précises. Ce type de partitionnement se nomme des « tiercés ».
Bien que plus rares, on les rencontre toutefois.
 
écu parti

 
Elles sont respectivement : tiercé en fasce, tiercé en pal, tiercé en bande, tiercé en barre, tiercé en pairle, coupé mi-parti en pointe, coupé mi-parti en chef, parti mi-coupé à dextre, parti mi-coupé à senestre.

 

    Les répartitions et les rebattements de l'écu

La combinaison des partitions entre elles, forme ce qu'on appel des répartitions ; même si le sens originel est « parti à nouveau ». Les répartitions apparaissent lorsqu'on découpe les quartiers d'une partition principale ou ternaire.
Chaque quartier ou partie sera donc : réparti, recoupé, retaillé, ou retranché, suivant si il est parti, coupé, taillé ou tranché.
Normalement, il s'agit de redécouper le blason en parcelles rectangulaires de 6, 8, 10, 12, 16, 20, 24, 28, ou 32 parcelles. Les exceptions telles le gironné ou l'écartelé en sautoire peuvent être considérées comme appartenant à la même famille.
Le meilleur moyen de ce faire une idée, est de regarder des exemples ! :-))
Encore un petit détail, quelque soit le type de découpage, lorsqu'il s'effectue dans un quartier, il se nomme contre. Les plus usités sont, le contre-écartelé, le contre-écartelé en sautoire et le contre-gironné. On ne précise pas la position du contre lorsqu'il est situé dans le premier quartier.
 
Ecu     écu     ecu     écu     Ecu

 
Donc voici, de gauche à droite, « un écu parti de trois et coupé d'un ; un écu parti, coupé de deux ; un écu écartelé et parti le second, (ce qui donne un découpage dissymétrique) ; un écu écartelé et parti en 2 et en 3 ; un écu écartelé et contre-écartelé ».
 
Ici on obtient :
 
écu gironné       ecu gironne

 
« gironné d'argent, de pourpre, d'argent et d'azur, un écu gironné d'azur et d'or ». Le gironné est la combinaison de l'écartelé et de l'écartelé en sautoir.
 
Plus simplement, les rebattements ne sont ni plus ni moins qu'une multiplication successive d'une même partition, ou d'une pièce honorable.
Le palé est le rebattement du parti, alternant ainsi les émaux des pièces verticales. Le fascé est le rebattement du coupé, le barré, celui du taillé et le bandé, celui du tranché.
Le rebattement oblige parfois à la réduction de la taille des pièces, cependant, lorsque les pièces perdent trop de leur proportion vis à vis de l'écu, le nom associé au rebattement est modifié. Par exemple pour le parti, on obtient le pal, ou plus précisément, le tiercé en pal, puis palé de x pièces.
 
écu fasce écu fasce Dans l'ordre, nous avons « fascé d'argent et d'azur », puis « fascé d'azur et d'argent de 3 pièces ». Si le nombre de pièces augmentent encore, alors le fascé deviendra un burelé (à partir de 9 pièces). La burèle (ou burelle) est le nom donné à cette pièce de faible largeur.
écu fasce Attention de ne pas confondre avec les figures ci-dessus !

D'argent à deux fasces d'azur.

 
écu bandé Voici un exemple de « contre » associé à un rebattement du bandé.
Celui-ci aura pour lecture : « Partie et contre bandé de 3 pièces, d'or et de gueules de l'un à l'autre ».
   écu équipolé Voici maintenant un exemple utilisant une combinaison du fascé et du palé... « D'azur équipolé d'argent ».

 

    Les traits de séparation

Chaque ligne de découpe ; qu'il s'agisse d'une couture, d'une superposition (charge), d'un bourrelet, d'un champlevé ou d'une peinture, se nomme un trait.
Ceux-ci sont parfois utilisés pour créer les lignes de séparation des partitions ou bien celles formant certaines figures.
Voici ici, quelques-uns des traits, les plus rencontrés :
 
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Les règles de l'héraldique


L'héraldique a ses règles, et celles-ci sont strictes. Cependant comme toutes règles, elles ont quelques exceptions, mais relativement rares.

Comme interdictions, on va trouver :
Interdiction de positionner un métal sur un métal.
Interdiction de positionner une couleur sur une couleur.
Interdiction de positionner une fourrure sur une fourrure.
 
Comme le blanc représente l'argent et le jaune représente l'or, il est interdit d'utiliser les deux représentants du même émail dans un même blason.
Il est effectivement interdit de superposer deux métaux, MAIS, lors de certains événements majeurs, il est arrivé que, pour marquer ce fait on ait sciemment fait un écart à cette règle.
Il peut en être de même pour l'inversion de certaines couleurs, du renversement haut, bas, d'un écu...

Lorsqu'on rencontraît de telles erreurs, il fallait s'enquérir du problème car il s'agissait soit d'une véritable erreur à corriger, soit d'une raison très importante pour les avoir créées. Le plus souvent, un fait d'armes notable. De ce fait, de telles armes sont dites à l'enquerre.
Les armes à l'enquerre les plus réputées sont celles du roi de Jérusalem (en fait « Avoué du Saint-Sépulcre »), Godefroi de Bouillon dont les armes étaient : une croix d'or sur fond d'argent. (le blason est visible dans la partie « Exemples de blasons »).


L'une des règles principales de l'héraldique reste l'esthétique ! Les effets de lumière (ombres) et l'utilisation de la surface proposée.

Le principe de juxtaposer deux émaux de même catégorie (métal, couleur ou fourrures) est déconseillé. Certains puristes en font même une interdiction !


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Vocabulaire


 
Il ne s'agit ici, que des mots utilisés dans le texte de cette page. Les définitions sont simplifiés au plus court. Un véritable lexique est en préparation et devrait être fonctionnel pour octobre-novembre 2001.

 
ARMOIRIES
Armoiries ou armes. C'est l'ensemble des signes, devises et ornements dont l'écu est constitué.
exemple : Les armoiries d'une famille, d'une ville, d'un État...
 
BLASON
Le blason est un ensemble de couleurs et/ou de dessins apposés sur un écu. Cet emblème ainsi formé représente les armes d'une famille. Le blason est également l'ensemble des armoiries qui composent un écu.
 
BLASONNER
1. C'est donner un descriptif clair et précis d'un blason, d'une armoirie... Il s'agit de donner une « lecture ».
2. Peut aussi être employé pour signifier la création d'un blason.
 
CIMIER
C'est la figure qui surmonte l'écu. Il peut s'agir d'un heaume ou d'une couronne orné de décorations diverses et dont le sommet peut-être blasonné du même.
 
ÉMAUX
En héraldique, les émaux correspondent aux différentes couleurs que l'on peut rencontrer. Ceux-ci sont de trois types, et ils portent les noms suivants : METAUX, FOURRURES et COULEURS.
Ils sont associés respectivement aux boucliers de bois peint, de métal et recouverts de fourrures, ou bien de mélange.
 
ÉCUSSON
L'écusson est un petit écu employé en tant que meuble dans un écu d'armoiries.
 
HEAUME
Le heaume est un casque intégral destiné aux combats et aux joutes. Il en existe de très nombreuses variétés. Bientôt des images sur la page médiévale...
 
HÉRAUT
Héraut ou Hérault en vieux François ;-) est un personnage officiel chargé de porter les déclarations de guerre, de régler les cérémonies et les jeux (joutes), ainsi que de surveiller les blasons dans leur authenticité et leur unicité.
 
MEUBLES
Les meubles représentent l'ensemble des figures du blason. Figures ou pièces mobiles de l'héraldique.
Par exemple : un lion, une fleur de lys, ...
 
PIÈCES
Les pièces représentent l'ensemble des figures héraldiques dites immuables. Cela concerne des figures types qui peuvent se superposer aux partitions.
 
TABARD
La tabard est la tunique armoriée que portaient certains personnages.

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